Bien avant Christophe Colomb,
les Amérindiens avaient promu le manioc, cette racine vénéneuse, au rang
d'aliment de base :
Le tubercule est lavé dans la rivière
puis pelé à l'aide d'instruments
en pierres ou en coquillages.
Puis il est rapé sur une planche hérissée d 'éclats de pierre
ou sur des morceaux de corail plat,
afin d'obtenir une bouillie.